| HAÏK, subst. masc. Étymol. et Hist. 1654 heque (N. Anroux et P. Héron, La miraculeuse redemption des captifs faite à Salé, p. 64 cité par R. Arveiller ds R. Ling. rom. t. 38, p. 15 : un heque de fine laine); 1725 haïk (Laugier de Tassy, Hist. du royaume d'Alger, p. 56, ibid., p. 16 : haïk, qui est une piéce d'étoffe de laine blanche). Empr. à l'ar. maghrébinḥayk, ḥā'ik (Dozy (A.) Vêt., p. 147). Fréq. abs. littér. : 35. |