GLANURE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1562
glenure « ce que l'on glane » (
Calvin,
Serm. sur le Deutér., 141 [
xxviii, 203-204] ds
Hug. : Je vous ai donné la terre de Canaan... mais je me suis réservé la
glenure); 1740 à propos d'écrits épars (P.
Bayle,
Dict. hist. et crit., t. 1, p. 449, note L : C'est la moisson du savant M. Ménage : voions si l'on pourra trouver des
glanures après lui); 1888 (E.
Littré,
Études et glanures pour faire suite à l'Hist. de la lang. fr. [
Catal. gén. des impr. de la Bibl. nat.]). Dér. de
glaner*; suff.
-ure*.