| GELURE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1538 « gelée » (Est., s.v. congelatio); 1542 « engelure » (Du Pinet, Hist. nat. de Pline, t. 2, p. 271 [livre 24, chap. 10] : Son [au Troësne] ius est propre aux nerfz, aux iointures, et aux gelures), attest. isolées; repris début xixes. 1807 (Michel, p. 101 : des gelures aux pieds); cf. 1853 (J.-R. Bellot, Expédition à la recherche de sir John Franklin, in L'Illustration, no531 ds Quem. DDL t. 4). Dér. de geler*; suff. -ure*. |