| FÉCOND, ONDE, adj. Étymol. et Hist. Fin xiies. « qui peut produire en abondance (d'un inanimé) » (Thomas de Kent, Roman de toute chevalerie, éd. Br. Foster, 36 : Europe est la tierce, de toz biens est feconde); 1690 « id. » (d'une pers.) (Fur.); 1690 un esprit fecond (ibid.). Empr. au lat. class. fēcundus « fécond, fertile, abondant ». |