| FUIE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1. Ca 1135 « fuite » torner en fuie (Couronnement Louis, 1268 ds T.-L.); 2. 1278 « retraite pour les pigeons; volière » (Vend. ap. Laetare 1278, Loudun, A. Vienne ds Gdf. Compl.); cf. xives. (Aveu de la seigneurie de Bagneux, ap. Monteil, ép. 19, note 3 ds Gay, s.v. fuye). D'un lat. vulg. *fūgĭta, part. passé subst. de *fūgīre, class. fŭgĕre « fuir » (v. ce mot); cf. REW3, no3552; FEW t. 3, p. 839a. |