| FROISSEMENT, subst. masc. Étymol. et Hist. Ca 1275 « action de mettre en morceaux, de faire voler en éclats » (Adenet Le Roi, Enfances Ogier, éd. A. Henry, 810); fin xive-début xves. « fatigue, peine » (Eustache Deschamps, éd. de Queux de St Hilaire, II, 15, 11); av. 1590 « action de léser, de meurtrir, de chiffonner » (Paré, XI, 1 ds Littré); 1829 fig. (Boiste). Dér. du rad. de froisser*; suff. -(e)ment2*. |