| FOUTERIE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1534 « chose obscène » (P. Fabri, L'Art de Rhétorique, L. 1, p. 118 ds Hug.), attest. isolée; repris fin xviiies. ca 1790 je parle en fouterie (Grand remerciement aux comédiens du Palais Royal, p. 7 ds Brunot t. 10, p. 180); 1851 « plaisanterie » (Flaub., Corresp., p. 140). Dér. du rad. de foutre1*; suff. -erie*. |