| FERRONNIER, IÈRE, subst. Étymol. et Hist. 1. 1332 « personne qui vend des objets de fer » (Registre criminel de Saint-Martin des Champs, éd. L. Tanon, p. 20 ds R. Hist. litt. Fr. t. 12, p. 699; Marote la ferronnere); 1538 (L. de Laborde, Gisors, p. 21 : Jehan Lambert, feronnier); 2. 1883 « celui qui fabrique des ouvrages de ferronnerie artistique » (Huysmans, Art mod., p. 238). Dér. de ferronnerie* par substitution de suff. (-ier*). |