| FERRAILLEUR1, EUSE, subst. masc. et adj. Étymol. et Hist. 1. [Av. 1692 « celui qui aime à se battre à l'épée » (Ménage s. réf. ds Trév. 1721 : Bèrgerac étoit un grand ferrailleur)]; 1690 (Fur.); 2. 1765 « celui qui aime à s'escrimer en paroles » (Encyclop. t. 14, p. 771a, s.v. scholastiques : Roscellin, le ferrailleur le plus redouté de son tems). Dér. de ferrailler*; suff. -eur2*. |