| ÉPERVIÈRE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1778 bot. (Lamarck, Candolle, Flore fr., Paris, Agasse, t. 2, p. 91). Dér. du nom de l'épervier, à cause de la croyance ancienne selon laquelle l'oiseau se sert de la plante pour s'éclaircir la vue, cf. aussi 1587 herbe d'espervier (Molinaeus ds Roll. Flore t. 7, p. 198), ainsi que le lat. hieracion « id. », empr. au gr. ι
̔
ε
ρ
α
́
κ
ι
ο
ν « id. » (dér. de ι
̔
ε
́
ρ
α
ξ « faucon »). |