| ENTORTILLAGE, subst. masc. Étymol. et Hist. 1. 1754, 13 févr. « contorsion dans l'expression; manque de simplicité » (M. du Deffand, Lettre à Mademoiselle de Lespinasse ds Ritter, Les Quatre dict. fr., p. 410 : Vous serez sans prétention et sans entortillage); 2. 1863 un entortillage de crins (Flaub., op. cit., p. 77). Dér. du rad. de entortiller*; suff. -age*. |