| EMBRUN, subst. masc. Étymol. et Hist. Début xvies. anbrun (J. Lemaire de Belges, Poésies attribuées, éd. Stecher, t. IV, p. 368 : Donc plaise à dieu que monseigneur dambrum Face de temps nubileux et danbrun. Une saison si belle ... Que les brouillas de discorde hors en gecte) ex. isolé; 1828 embrun (Lav.). Empr. au prov.embrum, déverbal de embruma « bruiner » (Mistral), correspondant à embrumer*. |