| EBBE, ÈBE, subst. masc. Étymol. et Hist. Début du xiiies. [ms.] ebbe (Lois de la cité de Londres, ms. Londres, B. M. Add. 14252 ds Gdf.). D'apr. FEW t. 15, 2, p. 83a, le mot serait empr. au m. néerl. ebbe. Sa répartition géographique (agn. et, dans les patois mod., norm.), suggérerait plutôt un emprunt à l'ags. (ebban dep. av. 1000 ds NED, s.v. ebb), cf. aussi Valkh., p. 121. |