DÉVIDEUR, EUSE, subst.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1380
desvoideur « dévidoir » (
Lex. Aalma ds
M. Roques,
Rec. gén. des lex. fr. du Moy. Âge, t. 2, p. 169,
s.v. girgillus) − 1474
desvuydeur ds
Gdf., à nouv. en 1870
dévideur (Lar. 19e); 2. 1577 « ouvrier qui dévide les fils, etc. » (
L. Le Roy,
Vicissitude, 26 r ds
A. H. Becker,
Loys Le Roy, Paris, 1896, p. 330). Dér. du rad. de
dévider*; suff.
-eur2*.
Cf. le fém.
devoyderesses « celle qui vide, qui dévide » (
J. de Garlande,
Dictionarius, éd. A. Scheler ds
Jahrbuch für rom. und engl. Lit., t. VI, 1865, p. 370, § 69, glose interlinéaire du ms. Bruges 536 [
xiiie-
xives.]) − 1636 (
Monet).