| DOUBLEUR, EUSE, subst. Étymol. et Hist. 1. Début xiiies. « celui qui rend le double » (J. Bodel, De Brunain la vache au prestre, 59 ds Montaiglon et Raynaud, t. 1, p. 134, 59 : Voirement est Diex bon doublere), attest. isolée; 2. 1700 « ouvrier qui double la laine, la soie » (Arrêt du conseil, 30 mars ds Littré); 3. 1838 joaill. (Ac. Compl. 1842). Dér. de doubler*; suff. -eur2*. |