| DIABLERIE, subst. fém. Étymol. et Hist. A. 1230 dïablerie « action inspirée par le diable, sorcellerie » (Gaidon, 120 ds T.-L.); 1854 « caractère extravagant, lunatique » (Nerval, Filles feu, Jenny, Paris, Champion, 1931 [1854], p. 233). B. 1534 « mystère mettant en scène le démon » (Rabelais, Gargantua, éd. R. Calder et M.-A. Screech, IV, 17). Dér. de diable*; suff. -erie*; a évincé l'a. fr. dïablie (xiies. ds T.-L.; dér. de diable*; suff. -ie*). |