| DEMI-FORTUNE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1750 (Guyard de Servigné, poème du Rhinocéros cité par Brunot t. 6, 2, p. 1105, note 1). Composé de demi* et de fortune* (cf. Causes célèbres, éd. 1773 ds Fr. mod., t. 14, p. 53 : [L'orfèvre B., Paris 1748, fit cadeau à sa femme pour des promenades qui remédiassent à ses vapeurs] de cette espèce de voiture que le riche dédaigneux a nommée demi-fortune, mais qui devoit satisfaire la vanité d'une bourgeoise). |