| DÉBILE, adj. et subst. Étymol. et Hist. Ca 1265 (Statuts d'hôtels-dieu et de léproseries, recueil de textes du xiieet du xives., 135 ds Quem. Fichier); ca 1308 (Aimé du Mont Cassin, Hist. des Normands, éd. Bartholomaeis, VIII, XIX, p. 359, 8). Empr. au lat. class. debilis « faible » à côté de la forme pop. deible, deble (cf. ca 1180 endieble, Marie de France, Le Purgatoire de Saint Patrice, 391 ds T.-L.). |