| COUPEUR, EUSE, subst. Étymol. et Hist. Ca 1230 coupeeur de gueules (Guillaume de Tyr, éd. P. Paris, X, 8); 1283 (Beaumanoir, Coutumes de Beauvaisis, éd. A. Salmon, § 1942); 1349 coupeeur de bourses (Act. norm. de la chambre des comptes, p. 408 ds Gdf. Compl.); 1845 coupeur, euse « celui, celle qui coupe les étoffes dans un atelier » (Besch.). Dér. de couper*; suff. -eur2*. |