COPRAH, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1602
copra (
A. Colin,
Histoire des Drogues [trad. d'un texte lat., lui-même adapté d'un texte port.], p. 158 ds
Arv., p. 199); 1845
copre (
Besch.) − 1892
Guérin; 1869
coprah (Lar. 19e). Empr. au port.
copra (dep. 1563,
Garcia da Orta,
Coloquios ds
Dalg. t. 1 1919, source de A. Colin,
supra), lui-même empr. au malayalam (dial. tamoul)
koppara. La forme
coprah est peut-être due à l'infl. de l'anglo-indien
coprah (v.
Dalg.;
Arv., pp. 199-201;
König, p. 77;
FEW t. 20, p. 102
b).