CONSTANT, ANTE, adj.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1265
constans [en parlant d'un homme] (
Brunet Latin,
Trésor, éd. F. J. Carmody, II, 80, § 7);
ca 1393 [en parlant d'un inanimé] (
Ménagier de Paris, éd. Sté Bibliophiles fr., t. 1, p. 113) :
constant courage);
2. 1660
il passe pour constant que « il passe pour établi, certain que » (
Corneille,
Examen d'Horace, éd. Marty-Laveaux, t. 3, p. 276). Empr. au lat. class.
constans « ferme, qui ne se laisse pas ébranler; inaltérable (d'une pers. ou d'une chose) » part. prés. de
constare, v.
conster.