| CONNAISSEUR, EUSE, subst. Étymol. et Hist. Ca 1170 subst. connoisseor (Benoit, Chronique des ducs de Normandie, éd. C. Fahlin, 35553); 1659 subst. fém. (Molière, Les Précieuses ridicules, éd. R. Bray, t. 1, scène IX, p. 268); 1771 adj. (Trév.). Dér. de connaître*; suff. -eur2*. |