CONFINEMENT, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. 1481 « terrain confiné » (
Ordonnance, XVIII, 630 ds
Bartzsch, p. 34), attest. isolée;
2. 1579 « emprisonnement » (
Fauchet,
Antiquitez, IV, 11 ds
Hug.) − début
xviies.,
ibid., repris au
xixes. comme terme de dr. pénal (
Besch. 1845 :
Confinement [...] Peine de l'isolement en grand usage dans les États-Unis). Dér. de
confiner2*; suff.
-ment1*; le terme de dr. pénal, peut-être sous l'infl. de l'anglo-amér.
(solitary) confinement (
cf. 1801,
Crèvecœur,
Voyage dans la Haute Pensylvanie, t. 3, p. 53, 237, 238).