| CHOUCROUTE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1699 suisse romand, Neuchâtel surcrute (Pat. Suisse rom.); 1739 sorcrotes (Les Dons de Comus, 114 ds Quem.); 1768 chou-croute (Cappe d'Auteroche, Voyage en Sibérie, 1, 19, ibid.); 1786 choucroute masc. (Mercier, Tableau de Paris, II, 351, ibid.). Empr. au dial. alsacien surkrut (corresp. à l'all. Sauerkraut, littéralement « herbe sure ») avec altération ultérieure d'apr. chou* et croûte*; pour la forme romande, v. Tapp. t. 2, 1916, p. 138. |