CHEVAUCHEUR, EUSE, subst.
Étymol. et Hist. xiiies.
chevaucheor « celui qui chevauche » (
Loh., ms. Montp., f
o155b ds
Gdf. Compl.);
ca 1260-70
chevauchëeur (
Ménestrel Reims, 223 ds T.-L.) − 1671,
Pomey; répertorié comme vieux mot de
Trév. 1752 à
Ac. Compl. 1842;
ca 1468
chevaucheur « courrier, cavalier avec mission spéciale » (
G. Chastellain, V, 93, 1 ds
Leipziger Romanistische Studien, t. 19, 1937, p. 191); répertorié comme ,,vieux mot`` dep.
Fur. 1690; employé dans la lang. littér. surtout par les romantiques (1832,
Hugo,
Notre-Dame de Paris, p. 248). Dér. du rad. de
chevaucher*; suff.
-eur2*.