| CHAPE(-)CHUTE,(CHAPE CHUTE, CHAPE-CHUTE) subst. fém. Étymol. et Hist. Ca 1165 chape chaete mot à mot « chape tombée » c.-à-d. « perdue », d'où fig. « bonne aubaine aux dépens d'autrui » (Wace, Rou, éd. H. Andresen, 1240); 1576 chappe cheute (Regnier de La Planche, Hist. de l'Estat de France, I, 17 ds Hug.) qualifié de ,,vieilli`` par Besch. 1845. Composé de chape* et de chaete, cheute, chute, anc. formes fém. du part. passé de l'a. fr. cheoir (v. choir et chute). |