CANNELURE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1545
canneleüre (
Nicolas Bachelier, Imagier et Maçons de Toulouse au XVIes., document cité ds
H. Graillot,
Toulouse, 1914, p. 253 d'apr.
M. Cagnon et
S. Smith ds
Cah. Lexicol., 1971, p. 102); 1547
cannelure (
J. Martin,
Trad. de l'Architecture de Vitruve, 42, 2, V,
ibid. : Les
cannelures des colonnes doyvent estre vingt & quatre en nombre). Adaptation de l'ital.
cannellatura «
id. » (
FEW t. 2, p. 206b) attesté en 1561 ds
Batt. (dér. de
cannelato « cannelé », v.
canneler) comme le montre la forme
cannelature, 1545, Pieter Coekke van Aelst. trad. de
Reigles generales de l'Architecture ds
M. Cagnon et
S. Smith,
op. cit.