| BÉNISSEMENT, subst. masc. ÉTYMOL. ET HIST. − xiies. (Ch. au cygne, I, 5331, Hippeau dans Gdf. : Plus de mil chevaliers i furent mort sanglent, qui ainc n'orent confesse ne beneissement) − (Aubigné, Lettres diverses, 32 dans Hug.); repris au xixes. par G. Flaubert.
Dér. du rad. du part. prés. de bénir*; suff. -ment1*. |