| ![]() ![]() ![]() ![]() BROUÉE, subst. fém. ÉTYMOL. ET HIST. − 1316 bröee (Chaillou de Pesstain dans Roman de Fauvel, éd. A. Långfors, A 1617); 1466-67 brouee (Métamorphoses d'Ovide, Vat. Chr. 1686, fo3 rodans Gdf. Compl.); 1538 fig. (R. Estienne, Thesaurus, ibid.).
Dér. (suff. -ée*) de l'a. fr. breu (brouet*) qui du sens de « bouillon » a développé celui de « écume, mousse » attesté p. ex. par le norm. bro(u)e (Moisy) d'où celui de « brouillard, pluie fine », cf. FEW t. 15, 1, p. 298. |