| BRIMBALEMENT, BRINGUEBALEMENT, BRINQUEBALEMENT, subst. masc. ÉTYMOL. ET HIST. − 1564 brimballement « mise en branle » (Rabelais, Cinquième livre, éd. Marty-Laveaux, p. 29) − av. 1598, Ph. de Marnix dans Hug.; repris au xixes., 1863 (Littré); 1948 bringueballement (Cendrars, Bourlinguer, p. 304 dans Rob. Suppl.); 1957 bringuebalement (Giono, Bonheur fou, p. 336).
Dér. du rad. de brimbaler, brinquebaler*; suff. -ment1*. |