BRANLE(-)BAS,(BRANLE BAS, BRANLE-BAS) subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1687 mar. (
Desroches,
Dic., 77 dans
Fr. mod., t. 25, p. 307 :
Branle-bas. C'est encore un commandement pour faire détendre les branles); d'où 1835
branle-bas de combat (Ac.); 1832 p. ext. fig.
branle-bas « épouvante » (
Raymond) −
Besch. 1845; 1863 « bouleversement » (
Littré).
Composé de
branle « hamac des matelots » 1678 (
Guillet,
Les Arts de l'homme d'épée, Paris, 3
epart.) p. ext. de sens de
branle* « oscillation », et de
bas1*.