| BRANDISSAGE, subst. masc. Étymol. et Hist. 1885 (Zola, Germinal, p. 185). Dér. avec suff. -age* du rad. du part. prés. de brandir au sens de « calfeutrer, boucher les fentes d'un cuvelage » attesté en wallon (Mons) d'apr. FEW t. 15, 1, p. 243a, fin xiiies. (Sone de Nansai, 7177 dans T.-L.), en relation avec brande « bois, copeaux, paille ou étoupe dont on se servait pour chauffer les navires » (Jal1), à rattacher (ces matières étant particulièrement inflammables) à l'étymon frq. *brand « tison ». |