| BILE, subst. fém. ÉTYMOL. ET HIST. − 1539 (Canappe, 2eLivre de la méthod. thérap. cité par R. Chauvelot dans La Presse médicale, 57, p. 579, sans réf.); 1546 (Ch. Estienne, Dissect. des parties du corps, 196, 2, 5, 6 dans Quem. : ceste bile est aussi nommée le fiel ... cholere); 1660 fig. échauffer la bile (Molière, Sgan., 1 dans Littré).
Empr. au lat. bilis (Plaute, TLL s.v., 1987, 34), atra bilis dès Plaute, ibid., 1987, 61; au fig. dans Sénèque, ibid., 1988, 18. |