| BIGNONIA, subst. masc.;BIGNONE, subst. fém.;BIGNONIER, subst. masc. Étymol. et Hist. 1694 bignonia (J. Pitton de Tournefort, Elemens de bot., t. 1, p. 133); 1801 (Chateaubriand, Atala, p. 22); 1751 bignone (Encyclop. t. 2). Dér., sous la forme lat. bignonia, francisée en bignone, du nom de Jean-Paul Bignon (1662-1743), prédicateur du roi, membre de l'Académie fr., en l'honneur duquel Tournefort, dont il était le protecteur, dénomma la plante. |