BIFURCATION, subst. fém.
ÉTYMOL. ET HIST. − Fin
xvies. anat. « division en deux branches » (
Paré, t. 2, p. 631 dans
Littré : De l'artere umbilicale à la
bifurcation de la grande artere, près de l'os sacrum) : 1752 (
Trév. Suppl. :
Bifurcation. C'est ce qu'on nommoit autrefois le fourc, l'endroit où une branche se sépare en deux et devient fourchue); en partic. 1894 chem. de fer (Ch.
Bricka,
Cours de chemins de fer, t. 2, p. 241 : Lorsque deux lignes se réunissent en un tronc commun elles forment ce qu'on appelle une
bifurcation).
Dér. du rad. de
bifurquer*; suff.
-ation*.