| BIEN-PARLER, subst. masc. ÉTYMOL. ET HIST. − 1557 (Ph. Bugnyon, Erotasmes de Phidie et Gelasine, Sonn. 8 dans Hug.).
Composé de bien* adv. et de parler* inf. substantivé. Cf. a. fr. bien parlant « éloquent, disert » (ca 1175, Chr. de Troyes, Chevalier Lion, éd. W. Foerster, 242 dans T.-L., s.v. parler), m. fr. bienparlant (1554, Le Caron, La Claire, A 5 b dans Z. rom. Philol., t. 28, p. 586). |