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Bernement, subst. masc.,attest. 1661 (Molière, École des Maris, III, 5 dans Ch.-L. Livet, Lex. de la lang. de Molière, t. 1, 1895, p. 241); dér. de berner, suff. -ment1*. Rem. On rencontre dans la docum. le synon. bernerie, subst. fém. (G. Sand, Les Beaux Messieurs du Bois-Doré, t. 1, 1858, p. 190; dér. de berner*, suff. -erie*). ... le bon marquis n'était pas encore assez fou pour ne pas appréhender d'être l'objet de quelque « bernerie » (Id., ibid.).
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