BEAU-FRÈRE, subst. masc.
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reattest. 1386 (
Testament de Philippe de Hardi, duc de Bourgogne, cité par Delboulle dans
R. Hist. litt. Fr., t. 4, p. 139); composé de
beau*, terme de courtoisie et de
frère*. A éliminé l'a. fr.
serorge (
xiie-
xvies. dans
Gdf.), du b. lat.
sororius « beau-frère ».
− [bofʀ
ε:ʀ]. Durée mi-longue pour [o] fermé dans
Passy 1914.
Fér. 1768 écrit
beaufrère en un seul mot. Au plur.
des beaux-frères. − Fréq. abs. littér. : 837. Fréq. rel. littér. :
xixes. : a) 1 450, b) 1 468;
xxes. : a) 1 017, b) 923.