| BAVURE, subst. fém. ÉTYMOL. ET HIST. − Ca 1300 baavure « bave abondante » (G. de Biblesworth, Traité, éd. Th. Wright, 143 dans T.-L. : Pur sauver ses dras de baavure [...] Festes [à] l'enfaunt une bavere), attest. isolée; 1752 technol. (Trév. : Bavure [...] Petite trace des joints des pièces du moule); 1866 sans bavure « impeccablement » (H.-F. Amiel, Journal intime, p. 34 : En s'habituant à écrire, à composer nettement et sans bavure du premier coup).
Dér. de baver* étymol. 1; suff. -ure*. |