BATTURE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. Fin
xiies. « action de battre, de frapper » (
Dialogue Grégoire, éd. W. Foerster, p. 206 dans
Gdf. : Cestui li tot poissanz et li merciables Deus en flaelant porcovrit de la parmanable
bature) − 1611,
Cotgr.; répertorié comme terme ,,vieilli`` dans
DG;
2. 1529 mar. « rochers situés un peu au-dessous de la surface de l'eau » (J. et
R. Parmentier,
Disc. de la navigation, 39, Schefer dans
R. Hist. litt. Fr., t. 5, p. 302,
s.v. brisant : On voyoit de grans brisans que l'on estimoit bancs ou
battures). Dér. du rad. de
battre*; suff.
-ure*.