BARGUIGNEUR, EUSE, subst.
Étymol. ET HIST. − 1. xives. « celui qui barguigne, celui qui marchande (?) » (
Lois et coutumes de Marchiennes, A. mun. BB I, 2777 dans
Gdf. Compl. : Item quiconques fait faus drap et le venge, il le doit dire a l'acateur et au
barguigneur, pour quoy il le vent, sur le drap perdre et sur estre banis de la mairie an et jour);
2. 1635 « chicaneur opiniâtre, celui qui met longtemps à se décider » (
Monet,
Abr. du parallèle de la lang. fr. et lat., Genève).
Dér. de
barguigner*; suff.
-eur2*.