| BABIL, subst. masc. ÉTYMOL. ET HIST. − Ca 1450 « bavardage futile, enfantin » (Myst. du Viel Testam., 6451 ds Gdf. Compl. : Qu'i a il, Mes enfans? D'ou vient ce babil? I a il debat entre vous?); xvies. en partic. « cri de certains oiseaux » (Belon, Nat. des oys., 4, XXVI, ibid. : [La rousserole] c'est l'oyseau du plus grand babil qu'on puisse cognoistre); 1680 péj. (Rich. : Le babil est une marque d'un petit esprit).
Déverbal de babiller*. |