AVERTISSEMENT, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − xives. « petite préface pour attirer l'attention sur qq points partic. d'un ouvrage » (N. Oresme ds
Meunier,
La vie et les ouvrages de N. Oresme, Paris, 1857, pp. 67-68 : toutefois soit cestui
advertissement entendu et pris pour le bon couraige et vouloir que j'ay au bien universel, et ne m'en soit imputée aucune temeraire opprobre par les lisans);
xves. en gén. « action d'avertir » (
Louis XI,
Nouv. LII ds
Littré : Le bon fils mercia son pere de son bon
avertissement); spéc. 1549 dr. « premières écritures qui servaient à l'instruction d'un procès » (
Est.); 1751 fin.
(Encyclop.).
Dér. du rad. du part. prés. de
avertir* étymol. 3; suff.
-ment1*.