| AVERNE, subst. masc. ÉTYMOL. ET HIST. − Av. 1662 poét. « les enfers » (Maître Adam, Chanson ds Littré : Je m'en irais dans l'Averne Faire enivrer Alecton Et bâtir une taverne Dans le manoir de Pluton).
Empr. au lat. Avernus « Averne », nom d'un lac de Campanie considéré comme l'entrée des enfers, d'où « les enfers » (Virgile, Georg., 4, 493 ds TLL s.v., 1315, 36), déjà lacus Averni (Cicéron, Tusc., 1, 37, ibid., 1314, 65). |