ATELLANE, subst. fém.
ÉTYMOL. ET HIST.
A.− 1557 adj. Antiq. rom. « du genre de théâtre bouffon » (
Recueil de païs, 488 ds
Hug. : Fables
atellanes), rare.
B.− 1570 subst. fém. « petites pièces de théâtre satirique » (
Gentian Hervet,
Cité de Dieu, 46
ibid. : Les joueurs des
atellanes).
Empr. au lat.
(fabula) atellana « atellane » littéralement « pièce d'Atella » (ville des Osques, où fut créé ce genre) (
Tite-Live, 7, 2, 12 ds
TLL s.v., 1016, 66); le subst. est attesté par le même auteur,
ibid., 1016, 72; v.
Kl. Pauly, s.v. Atellana fabula.