| ASTRINGENT, ENTE, adj. ÉTYMOL. ET HIST. − 1537 (J. Canappe, 4elivre de la méthode thérap. ds Presse médicale, 57, 579 sans attest.); 1553 (P. Belon, Observations, II, 39 ds Rev. Philol., t. 43, p. 178 : Ayans ... recouvré un petit rameau, duquel goustasmes, et aussi de ses fueilles, les trouvasmes estre quelque peu adstringentes).
Empr. au lat. astringens, part. prés. de astringere « resserrer », cont. méd. (Cicéron, Nat. deor., 2, 136 ds TLL s.v., 901, 50); cf. Pline, Nat., 31, 98, ibid., 81. |