ASSORTISSEMENT, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1567 « action d'assembler des choses qui se conviennent » (
Amyot, trad. des
Vies de
Plutarque,
Aux Lecteurs ds
Hug. : Il se meit à escrire ceste euvre excellente des
Vies, qu'il appella
Parallelon, comme qui diroit l'accouplement ou
assortiment) − 1616 (St François de Sales ds
Hug.);
2. av. 1615 « convenance de plusieurs choses qui ont entre elles quelque rapport » (
E. Pasquier,
Lettres, IX, 1,
ibid. : Repassez par toutes les principales propositions des loix tant de la France que de Rome, et les confrontez les unes aux autres, vous n'y trouverez aucun
assortiment) − 1775 (
Loisirs du Chevalier d'Eon, IX, p. 268 ds
Brunot t. 6, p. 345); repris au
xixes. « fait d'être en rapport de convenance » 1847,
supra ex. 1.
Dér. du rad. du part. passé de
assortir* étymol. 2; suff.
-ment1*.