ASCENSEUR, adj. et subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST.
I.− Subst. 1. 1508-17 « celui qui monte un cheval, cavalier » (
Fossetier,
Chron. Marg., ms. Brux., 10509 f
o227 r
ods
Gdf. : Ulixes le cuidant vengier brandist sa lance contre Paris, mais le cop chei sur son cheval, lequel tomba mort non sans son
ascenseur Paris); emploi partic. à Fossetier v.
Gdf.;
2. 1867
ascenseur de Edoux à l'Exposition ds
Fr. mod., t. 16, p. 62 : [« appareil qui sert à monter mécaniquement des fardeaux ou des personnes »]; 1874 «
id. »
, supra ex. 3.
II.− Adj. 1876,
supra, Littré.
Dér. du rad. du supin
ascensum de
ascendere, v.
ascendre; suff.
-eur2*. Le sens 1, directement empr. au b. lat.
ascensor « celui qui monte un cheval, cavalier » (
Vulgate, Exode, 15, 1 ds
TLL s.v., 759, 72).