ARRIÈRE-PENSÉE, subst. fém.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1587 (
De La Noue,
Discours politiques et militaires, discours 26eds
Dict. hist. Ac. fr. : Ceux de la religion exciteront l'indignation et la haine du Roy [Charle IX] contr'eux [les huguenots], parce qu'à leur occasion il fut contraint de se retirer à Paris avec frayeur et vitesse, si bien que depuis il leur garda tousjours une
arrière-pensée); 1736 (
Destouches,
Le Dissipateur, V, 9,
ibid. : Les femmes ont toujours quelque
arrière-pensée).
Composé de
arrière-* et de
pensée*.