| ARIETTE, subst. fém. ÉTYMOL. ET HIST. − [1710 d'apr. Bl.-W.5]; 1725, oct. (Merc. ds Trév. 1752 : [Le sieur Muraire chanta une ancienne ariette Italienne, qui fit beaucoup de plaisir] : Une Nymphe à gosier charmant, Dans les ariettes excelle. Ceux qui marchent tout doucement Expriment le nom de la Belle).
Empr. à l'ital. arietta (Brunot t. 6, p. 1236; Kohlm. 28) « id. » attesté dep. le xviies. (Buonarroti il Giovane [1568-1646] 9-220 ds Batt.). L'ital. arietta est le diminutif de aria (aria*). |